Perchée dans son atelier à l’Usine où l’artiste a posé son chevalet depuis 2018, Sybille M découvre Bruxelles, d’une fenêtre à l’autre, avec vues sur des façades aux formes variées, briques aux dégradés infinis et toits caressés par des nuages fabuleux. Au fil des saisons et des lumières, elle apprivoise la ville qui devient son territoire, sa géométrie intérieure. Vues du dehors au dedans, du dessous, du dessus, l’artiste brouille les pistes et les espaces. A chacunes « son point de vue » !